Vous pouvez rencontrer l’amour
Ce que révèlent vos fantasmes
Trouver le partenaire idéal
Tout au fond de chacun et chacune d’entre nous, il y a un grand vide que des centaines d’amantes ou d’amants ne pourraient combler ; il y a pourtant de l’espoir. Vos rêves peuvent se réaliser.
Pour plusieurs gens qui semblent tout avoir pour réussir, que le monde entier envie et que l’on rêve d’avoir dans son lit, bien peu d’entre elles ont connu l’amour véritable. Mais rien ne vous oblige à prendre le même chemin. Vous pouvez vivre ce à quoi vous aspirez.
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Une femme peut-elle devenir belle à un point tel qu’elle n’aura plus aucun besoin d’être aimée ? Combien de temps un homme doit-il rêvasser devant une photo de Cindy Crawford, de Claudia Schiffer ou d’Elle Macpherson dans le plus simple appareil pour se débarrasser d’un sentiment de rejet qui le ronge ?
Quelles que soient nos tentatives pour réprimer notre besoin d’amour, celui-ci est incontournable. Les psychologues ont découvert que même ceux qui orientent leurs désirs vers une sexualité presque’ entièrement détachée de la personne pornographie, sexe par téléphone, fétichisme, sexualité solitaire, exhibitionnisme, zoophilie, etc. sont généralement obsédés par l’amour. [1] (Quelle terrible incompréhension de leurs besoins réels.)
Être amoureux, c’est prendre des risques. On a beau fermer les yeux quand on embrasse son partenaire, cela n’enlève rien à la fragilité des relations interpersonnelles. La beauté est éphémère. Les gens changent. La mort ou les différences d’opinion peuvent nous priver trop vite de ceux qui nous sont chers. Plus notre amour pour quelqu’un est profond, plus nous prenons conscience du risque d’aimer.
Si la réalité est froide, les rêves nous brûlent parfois les doigts. Nos passions nous paraissent si dévorantes et insatiables que nous les fuyons, mais elles n’en continuent pas moins à nous hanter. Relâchez, juste l’espace d’un instant, cet étau qui enserre vos désirs dans la forteresse de votre esprit. Laissez vos attentes et vos espoirs prendre l’envol sous vos yeux, et s’élever vers un but qui semble encore hors de portée. Osez découvrir les vérités que vos désirs vous révèlent.
Vous brûlez d’un désir d’intimité profonde ; vous rêvez d’un compagnon de vie qui ne vous décevra jamais ; vous désirez rencontrer l’Ami qui sera toujours près de vous, où que vous soyez, toujours là quand vous éprouvez le besoin de l’avoir à votre côté.
Trop souvent, votre entourage ne vous comprend pas. Vous souhaitez que la personne qui vous aime puisse lire vos pensées et vos désirs ; quelqu’un qui non seulement connaît vos blessures et vos victoires récoltées au fil de la vie, mais quelqu’un qui les a vécues à vos côtés. Vous pourrez vous sentir libre avec une amie qui connaît vos secrets les plus terribles ; mais vous voulez avoir la certitude qu’il ou elle ne vous lâchera jamais et vous respectera toujours.
Quand la vie vous donne un coup et vous envoie par terre, vous désirez avoir près de vous quelqu’un qui viendra à vos secours sans hésiter, et qui saura exactement comment venir à votre aide. Un partenaire compétent qui, quand vous vivez une catastrophe après l’autre, vous apporte consolation et protection, et qui sait prendre les choses en main pour votre bien. Mais vous ne voulez pas de quelqu’un qui vous dorlote ou vous étouffe. Au contraire, vous voulez quelqu’un qui marche à vos côtés et vous guide, pour vous permettre d’atteindre les sommets vers lesquels la vie vous appelle.
Vous désirez rencontrer quelqu’un de stable, mais qui n’est jamais ennuyeux ; quelqu’un qui vous correspond, au point qu’on penserait que vous avez été faits l’un pour l’autre ; quelqu’un qui est votre fierté en toute occasion ; quelqu’un dont l’amour pour vous est si grand qu’il ne faillira jamais ; quelqu’un de fidèle, de sincère, d’ouvert et de chaleureux, mais qui résistera aux épreuves du temps, à la maladie et à la tragédie, comme s’il pouvait vivre pour toujours. Vous ne voulez pas que la mort vienne vous voler la personne que vous aimez le plus, et vous précipite dans un désert glacé de solitude.
Il n’y a pas un être humain qui serait vraiment à la hauteur, et pourtant le désir impossible de trouver cette personne persiste. Quelques rêveurs poursuivent la quête d’un amour parfait qui leur échappera toujours, et qui soupirent inlassablement après l’amour idéal. La plupart d’entre nous s’arrêtent en chemin et abandonnent la quête. Pour être à la hauteur, il faudrait que cette personne parfaite soit Dieu. Mais n’est-ce pas illusoire ? Nous sommes faits de chair et de sang. Dieu, s’il existe, est un Esprit inaccessible, comme caché par un brouillard lointain. Et faire de Dieu un ami serait bien prétentieux !
Est-ce vraiment prétentieux ? Dans le domaine de l’inconnu, tout ou presque peut exister, même un Dieu qui ferait table rase de notre incompréhension à son sujet. S’il y a réellement une Intelligence derrière la création, pourquoi portons-nous des désirs d’absolu qui ne sont jamais satisfaits ? Dieu trouve-t-il du plaisir à nous torturer ainsi, ou bien ce désir d’un compagnon idéal, désir planté profondément en nous, existe-t-il pour que l’amitié de Dieu le comble ? Est-il possible que Dieu nous semble tellement lointain seulement parce que nous n’avons pas de vraie relation avec lui ? C’est absurde ! Si nous pouvons parler, ressentir et aimer, notre Créateur peut en faire autant, et bien plus. Dieu est proche, et Il aime.
Il est cette personne extraordinaire, dont l’amitié inconditionnelle et sans limites peut combler nos désirs les plus profonds, ce partenaire parfait auquel nous aspirons.
Dieu vous aime passionnément. Vous êtes quelqu’un d’important à ses yeux, aux yeux de la seule personne qui importe vraiment. Pour tous les autres, vous n’êtes qu’une personne parmi des milliers d’autres. Mais pour votre Créateur, vous êtes unique. Vous avez une telle importance à ses yeux qu’Il ne veut pour vous rien moins qu’un mariage parfait, où vous pourrez faire votre joie l’un de l’autre, éternellement.
Il ne suffit pas de croire au sexe opposé pour être marié. De même, il ne suffit pas de réciter une confession de foi pour avoir le droit, un jour, de vivre dans la présence de Dieu. Il ne suffit pas de faire quelques pas dans l’allée d’une église. Le vrai mariage, c’est croire en quelqu’un avec une totale confiance, au point de vouloir lui donner tout ce que vous êtes, tout ce que vous avez. Votre Créateur est prêt à s’unir à vous ; mais pour que le mariage fonctionne, l’engagement doit être mutuel.
Si une jeune femme qui vit dans la pire déchéance épousait un millionnaire, elle bénéficierait de ses richesses, et lui se chargerait de ses dettes. Il serait éclaboussé par la honte de sa vie passée, tandis qu’elle jouirait de la célébrité de son mari, un vrai conte de fées, style Pretty Woman. Mais pour cela, elle doit mettre fin à son ancien mode de vie et rompre avec ses mauvaises relations pour s’unir, avec le peu qu’elle a, à cet homme pour la vie. Tout ce qui appartient au millionnaire deviendra sien, si elle accepte que tout ce qu’elle possède appartienne à son mari.
De la même manière, si nous confions à Dieu tout ce que nous avons, notre temps, nos capacités, nos relations et nos biens, il fera de même et déversera sur nous ses largesses. Nous donnons notre misère à Jésus, abandonnant même nos péchés préférés. Jésus prend tout sur lui. C’est pourquoi Il a été tué. En contrepartie, la perfection sans péché de Jésus nous enveloppe, nous rendant capables d’avoir une relation d’intimité avec le Dieu Saint.
Par notre engagement dans ce pacte d’amour, nous donnons à Dieu le droit de faire tout ce qu’Il veut avec nos biens et notre personne, mais le Maître de l’univers met ses richesses à notre disposition. Nous échangeons nos compétences contre Son omnipotence ; nos efforts pour gérer notre vie contre Sa sagesse infinie. Nous lui offrons notre existence sur la terre, et Il nous donne l’éternité.
Chaque fois, nous bénéficions de ce que Dieu met à notre disposition, tandis qu’Il reçoit notre imperfection. Mais Dieu nous aime. Il désire cette sainte union bien plus que vous ne l’imaginez. N’attristez pas Dieu en rejetant son amour, et par ce fait même, passant à côtés d’une expérience essentielle.
Les lignes qui suivent sont en quelque sorte les voeux de mariage par lesquels vous vous donnez au Seigneur, le reconnaissant ainsi comme votre Dieu. En contrepartie, le Roi des rois vous rend digne d’une fusion spirituelle avec Lui et s’engage à vous accueillir sans réserves. Si ce texte correspond à l’engagement que vous souhaitez prendre, vous pouvez en faire votre prière en la lisant à Dieu.
C’est dur de reconnaître combien j’ai été mauvais. Je t’ai fait de la peine, mais tu as envoyé ton Fils qui a donné sa vie pour vaincre la mort et obtenir mon pardon.
Tu t’es donné totalement pour moi et je désire répondre à ton immense amour en te consacrant tout ce que j’ai pour te faire plaisir. Je te prends comme mon Dieu à partir d’aujourd’hui et pour toujours. Je veux t’aimer, t’honorer et t’obéir. Je m’en remets à ta protection et à ton aide. Je t’abandonne mes péchés, renonçant même aux choses qui m’attirent. En échange, je reçois ton pardon, ta pureté et ta puissance pour vivre une vie digne de toi.
Je te remercie parce que nous venons de commencer une union si exceptionnelle et si forte que même la mort ne pourra la détruire.
Le Seigneur du ciel et de la terre connaît vos pensées secrètes. Si vous avez prié cette prière honnêtement, dans son intégralité, vous êtes entré de plein pied dans une nouvelle dimension spirituelle. C’est difficile à croire. Tout semble être comme avant. Mais dans une perspective céleste, bien des choses sont nouvelles. Un contrat spirituel a été conclu entre Dieu et vous.
Ne comptez pas sur vos émotions pour vous en assurer, par exemple, la sensation de se sentir coupable ou content, mais comptez sur l’intégrité du Très Saint. Il a donné Sa parole (dans la Bible) que celui ou celle qui se détourne du péché et regarde Jésus pour être purifié aura une destinée radicalement nouvelle. Dieu ne ment pas !
Si c’est la toute première fois que vous avez eu l’occasion de prier ainsi, n’en restez pas là. Envoyez-moi un courrier électronique sans attendre. J’aimerais avoir de vos nouvelles, mais même un message vierge avec vos coordonnées me permettrait de prier pour vous, et de vous envoyer quelques informations.
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Grantley Morris à :
french1@net-burst.net
Dans les amours à l’ancienne, les jeunes amoureux faisaient abstraction de la réalité et laissaient libre cours à leurs émotions et à leurs rêves. Il n’est pas étonnant que leurs paroles prenaient des connotations religieuses : “Elle m’adore,” “il est mon idole,” “je me sens monter au ciel,” “il me baiserait les pieds,” “c’est un mariage béni des dieux.” Ce type d’expressions était courant, même dans la bouche de ceux qui ne pratiquaient aucune religion. Dans un coin de leurs pensées, quelque chose leur faisait croire que l’amour débordant avec un lien avec le sacré.
Le désir profond qui vous ronge restera inassouvi tant que vous ne vivrez pas une merveilleuse union avec votre Créateur. Dieu est le Partenaire parfait auquel vous aspirez. Mais Sa perfection empêche que vous vous approchiez de Lui. Le Tout Puissant est terriblement saint ; Ses vertus sont incomparables ; Sa pureté est inimaginable. Ce n’est pas notre cas. Si la perfection de Dieu, intense et durable, se manifeste de manière éclatante, notre imperfection ressemble plutôt à des ténèbres. Et les ténèbres ne résistent pas devant la lumière de Dieu.
Ceci nous ramène à une dure réalité : nos aspirations les plus profondes restent inaccessibles. Il y a pourtant une solution pour nous approcher de la grandeur de Dieu, mais le problème est de taille. Un problème si grand qu’il est plus facile de se cacher, comme ces habitants des cavernes qui reculent devant l’éclat du soleil. Nous allons maintenant parler de choses qui sont un défi à nos capacités de compréhension. Mais quelle découverte libératrice pour ceux qui en acceptent la réalité.
J’imagine que je m’égare dans les couloirs d’un hôpital et que je croise un chirurgien prêt à entrer dans la salle d’opération ; bien sûr, il ne peut pas se permettre de me toucher. Même si je me sens parfaitement propre, aucun contact n’est envisageable, car le chirurgien doit respecter des normes d’hygiène strictes, bien plus exigeantes que les miennes.
De la même façon, nous nous aventurons dans la présence du Seigneur Très-Saint. Nous pouvons nous sentir irréprochables comparés à ceux qui nous entourent, mais l’infinie perfection de Dieu nous fait paraître, devant Lui, comme des lépreux. Dieu doit nous maintenir à distance.
Ceci peut paraître excessif. Nous baignons toute notre vie dans l’imperfection, et nous sommes tout à fait incapables de nous évaluer objectivement, selon des normes définies par notre Créateur. Tout au fond de nous, nous suspectons le pire mais nous préférons fuir plutôt que d’agir pour chercher une solution, un peu comme ces personnes qui refusent de se soumettre à un test de dépistage du cancer, alors qu’elles savent qu’un diagnostic rapide pourrait leur sauver la vie.
Pour réduire au silence une conscience bavarde, l’une des méthodes les plus employées, rarement intentionnellement, consiste à se fabriquer un code moral qui entretient l’illusion que nous sommes meilleurs que les autres. Ce n’est pas la méchanceté qui nous pousse à mépriser certaines personnes, mais plutôt une tentative désespérée de réduire au silence notre propre conscience. Nous nous efforçons de remplir nos vies de mille choses à faire, juste pour ne pas avoir de temps libre pour réfléchir à qui et ce que nous sommes. Mais nous savons que, devant Dieu, nous sommes coupables. Même si nous imaginons avoir réussi à balayer ces choses de notre esprit, elles nous affectent plus que nous n’imaginons. Nous sommes prêts à tout, même à accuser Dieu d’être injuste, pour nous sentir moins coupables.
Nous défions les lois de Dieu, nous nous faisons du tort les uns les autres, et nous avons l’audace de rendre Dieu responsable de cet état des choses. “Pourquoi les innocents souffrent-ils ?”, gémissons-nous en soupirant, oubliant de manière fort opportune les situations où nous avons fait souffrir notre entourage avec notre colère, notre envie et nos mensonges. Pour quelque obscure raison, nous prétendons que certaines souffrances sont tolérables et même excusables ; les souffrances que nous infligeons nous paraissent anodines, examinées à la lumière des normes que nous nous fixons arbitrairement. Dieu ne peut pas approuver une telle hypocrisie.
Si Dieu est un Dieu d’amour, pourquoi Dieu accepte qu’il y ait tant de souffrance dans le monde ? Pour ceux qui ne sont pas extasiés dans leur manteau d’hypocrisie, la réponse est évidente. Dieu aimerait détruire le mal, et le moment où Il le fera approche (2 Pierre 3 : 9-13). Mais comment le ferait Il sans nous détruire également, vous et moi, à moins de faire preuve d’un certain favoritisme ?
(Je vous vais prévenu que cette terrible histoire serait difficile à supporter. Mais ceux qui ont le courage de reconnaître l’évidence en cueilleront les fruits. Quand nous découvrons comment nous pouvons nous approcher de Dieu, qui peut faire de nous bien plus que ce que nous inventions dans nos rêves les plus fous, il n’est pas question d’avoir froid aux yeux.)
Participer à la beauté de Dieu
Nous pourrions nous améliorer et devenir “bons,” au point d’avoir le comportement et les pensées les plus irréprochables, cela ne ferait pas avancer les choses. Quand une eau est polluée, vous pouvez ajouter autant d’eau pure que vous voulez, cela ne rendra pas le mélange pur. Notre passé est “pollué,” et rien ne peut effacer cela.
Il y a des choses que Dieu ne peut pas faire, sinon Il se renierait Lui-même. Prenez un homme qui passerait en justice pour conduite en état d’ivresse. Le juge connaît l’inculpé, il est même un ami très proche. S’agirait-il encore de justice, si le juge déclarait le coupable innocent, même par amitié ? Ou bien pourrait-il réduire la peine ? Seul un juge corrompu pourrait fermer les yeux sur la violation de la loi et faire preuve de favoritisme.
Dieu est notre Juge ; jusqu’à nouvel ordre, aucune personne ne se crée elle-même, l’être humain ne saurait créer son semblable sans créer un monstre. Personne ne choisit de venir au monde ; même le dessin de nos empruntes digitales, si unique, échappe à notre contrôle. Dieu a créé chacun de nos neurones, qui nous servent à penser. Nous Lui devons tout. Le Seigneur est l’auteur, et donc détenteur de certains droits, sur chaque molécule de notre organisme que nous utilisons avec plus ou moins de bonheur. Que cela nous plaise ou non, nous avons des comptes à rendre à Dieu pour chacune de nos actions. Notre égoïsme a blessé des personnes. Il serait scandaleux de voir le Grand Juge passer l’éponge sur nos méfaits. Nous sommes les premiers à nous révolter contre Dieu quand nous voyons des injustices restées impunies. Alors que l’engagement de Dieu à votre égard défie toute explication rationnelle, Il n’a pas d’autre choix que de vous déclarer coupable. Et un coupable doit être puni.
Cette situation ne laisse que deux options : soit vous supportez les conséquences de vos actes et en payez le prix, soit quelqu’un d’autre assume la peine pour vous.
Je serais bien prétentieux d’affirmer que je pourrais porter votre peine à votre place. J’ai mon propre poids à porter, avec sa rétribution. Mais le Fils éternel de Dieu, il y après de 2000 ans, a quitté Son trône céleste pour venir sur la terre. Il est le seul humain qui ait vécu parfaitement selon les normes divines. Face à l’éclat de Sa pureté, nos standards moraux les plus nobles dégagent une puanteur de suffisance. Ainsi, quand Christ a pris sur lui volontairement la peine et la honte de la condamnation à mort du criminel, quelque chose d’une signification de toute première importance s’est passé. Le Fils de Dieu, innocent, a pris sur Lui toute la peine rattaché à votre péché.
Le tourment physique était submergé par l’agonie spirituelle. Sur la croix, la seule personne qui a connu l’unité éternelle avec Dieu s’est écriée : “Mon Dieu, pourquoi m’as - Tu abandonné ?” Le Père s’est trouvé contraint à abandonner Son Fils bien-aimé, de le considérer comme le dernier des pécheurs, jusqu’à ce que la peine soit exécutée jusqu’au bout. Ensuite, ayant supporté toutes les conséquences de notre dépravation, Christ est revenu à la vie, nous ouvrant un nouveau chemin, que nous pouvons emprunter à Sa suite.
Vous êtes maintenant au coeur de cette immense marque d’amour, immense à vous couper le souffle, le plus grand amour qui ait jamais existé dans l’univers. Allez-vous continuer à le repousser ?
Vivre la plus grande histoire d’amour qui soit
Le sacrifice de Christ est la solution de Dieu pour que le Grand Juge puisse nous offrir la liberté, en toute justice. Mais le pardon de nos péchés ne nous est pas pour autant accordé automatiquement.
Pour vous approcher du Seigneur des étoiles, pour qu’une puissance divine vous régénère de l’intérieur, pour vivre la vie à laquelle vous avez été appelé, vous devez répondre à l’offre de Dieu. Pour bien comprendre cela, revenons à l’exemple du conducteur en état d’ivresse.
Le juge devrait imposer une amende à son ami qui a violé la loi. Mais il est parfaitement légal de payer cette amende avec l’argent d’un ami. C’est donc le coupable qui doit décider s’il accepte l’argent que l’ami lui propose.
Comme Jésus serait peiné, si vous refusiez son offre ; le chagrin d’un ami qui peut aider, mais que l’on repousse par orgueil. Il ne reste alors plus qu’une alternative : vous devez vous-même vous acquitter de la peine. Et si Jésus est mort, c’est pour que vous n’ayez pas à passer par là. Dieu veut vous sauver des affres de l’enfer et veut faire équipe avec vous, dans une relation profonde qui transforme votre vie. Mais vous devez accepter Son cadeau. Cela implique que vous reconnaissiez avoir besoin de ce cadeau, reconnaître que seul le sacrifice de Jésus peut payer le prix de votre culpabilité.
Il reste un point à examiner. Si notre conducteur ivre et dangereux maintient ses habitudes, un petit verre de trop, beaucoup d’inconscience et de stupidité, il reste un danger pour la société. Ce ne serait pas une bonne chose de pardonner la faute à quelqu’un qui continue à braver la loi.
De même, Dieu ne serait pas juste s’Il nous pardonnait alors que notre rapport au péché n’a pas changé.
Je tremble à l’idée de ces foules qui, tragiquement, ont ignoré ce point. Un autre exemple permet de voir l’importance de cet aspect de la justice de Dieu.
Vous naviguez dans une mer de péché. Des abîmes sans fond, des vagues hautes comme des montagnes. Et personne qui s’aventure à vos cotés. Tout autour de vous, la même angoisse. Pourtant, vous connaissez un endroit, un seul, où tout est différent : la mer est calme, la houle berce langoureusement les bateaux. Si vous avez l’air de vous y plaire, de vous débattre joyeusement dans ces eaux périlleuses, qui vous prendra au sérieux quand vous appellerez à l’aide ? A quoi serviraient les efforts de quelqu’un qui prendrait des risques pour vous sauver, alors que vous bravez la mort, si vous n’attendez même pas qu’il ait le dos tourné pour replonger dans la tourmente ? Ceux qui ont un rapport suicidaire avec le péché ne peuvent pas être sauvés.
Cela ne veut pas dire que vous devez d’abord vivre une vie sans péché pour que Dieu vous pardonne. Nous sommes pris dans les griffes du péché. Seul Jésus peut vous en tirer. Mais le voulez-vous réellement ? Voulez-vous vous débarrasser, une fois pour toute, de vos péchés favoris ?
Le Tout-puissant nous donne une dignité en respectant nos désirs. Si nous ne voulons pas de Lui comme notre Dieu, c’est-à-dire avec tous les droits sur notre vie, cela l’attriste et le consterne, mais dans Sa bonté Il nous laissera suivre notre chemin. Personne n’a souffert comme Dieu d’avoir vu son amour rejeté.
On ne peut forcer personne à aimer quelqu’un. On ne peut forcer personne à vouloir vivre avec un coeur pur. Dieu a fait tout ce qui était en Son pouvoir pour vous ouvrir la voie. Maintenant, c’est à vous de décider.
Ne pas reconnaître le Créateur, c’est faire preuve d’égoïsme. Il est la source de tout ce qui est bon, et de toutes nos joies profondes. (Même les frémissements de plaisir procurés par le péché, cette ombre des choses réelles que nous tentons de saisir quand nous défions Dieu, ne nous sont accessibles qu’au moyen des sens que Dieu nous a donnés pour ressentir le plaisir.) Toutes les choses qui nous émerveillent et que nous considérons comme allant de soi viennent de Lui. C’est Lui qui maintient les liaisons entre les atomes. Il protège et entretient aussi la vie de ceux qui ne Le reconnaissent pas, et leur donne de nombreuses occasions de répondre à Son étonnant amour. Ils ne souhaitent pas que Dieu intervienne dans leur vie, mais Il le fait tout de même, leur faisant par milliers des cadeaux tout de douceur, de chaleur, de beauté, de délices, de fraîcheur, d’enthousiasme et riches d’enseignement. Toutefois, au moment de la mort, ceux qui ont choisi de vivre en toute indépendance par rapport à Dieu obtiennent ce qu’ils ont choisi. C’est l’horreur finale. L’idée de vivre éternellement séparé de la source de tout amour, de toute beauté, de tout accomplissement et de toute joie est terrifiante.
Mais avec une attitude repentante face aux “plaisirs” contraires aux normes divines, et en vous reposant sur le pouvoir de Jésus, acquis par Son sacrifice, de vous accorder le pardon, vous donnez à Dieu la possibilité de faire enfin ce qu’Il souhaite depuis longtemps, payer votre dette à la justice et transférer sur vous la perfection morale de Christ. Ceci vous rend pur à Ses yeux, de sorte qu’il n’est plus nécessaire de maintenir une distance entre Lui et vous. Vous pouvez alors commencer une vie sans fin en communion avec la plus merveilleuse Personne de l’Univers.
Souhaitez prier maintenant pour donner votre vie à Dieu ? Oui.